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Quelle eau boire aujourd’hui ? Comprendre les enjeux autour des TFA et PFAS

Le 11 juin 2025 - Ecrit par Maureen

La qualité de l’eau que nous consommons fait l’objet d’une attention croissante, notamment en raison de la présence de certaines substances comme les PFAS, souvent appelés « polluants éternels ». Parmi elles, le TFA (acide trifluoroacétique) est parfois évoqué. Il s’agit d’un micropolluant issu principalement de la dégradation de certains pesticides. Bien que très mobile et encore en cours d’étude, le TFA reste aujourd’hui peu documenté, et les effets potentiels sur la santé humaine ne sont pas encore clairement établis. Les autorités sanitaires poursuivent leur travail d’évaluation, mais il est important de noter qu’aucun seuil réglementaire n’a été défini concernant sa présence dans l’eau, ce qui reflète l’absence d’alerte majeure à ce stade.

Les différents types d’eau : comprendre les fondamentaux

Bien que l’eau est le produit alimentaire le plus contrôlé, nous sommes de plus en plus nombreux à nous poser la question « Quelle eau boire ? ». Et pour cela, il est essentiel de bien comprendre les différentes catégories d’eau disponibles à la consommation. Chacune a ses particularités, ses avantages et parfois ses limites. Voici un tour d’horizon pour vous aider à faire un choix éclairé.

Eau minérale et eau de source : les différences essentielles

Ces deux types d’eau proviennent toutes deux de nappes souterraines protégées, mais leurs spécificités sont distinctes :

  • Eau minérale naturelle : il s’agit d’une eau d’origine souterraine reconnue pour sa pureté microbiologique et sa composition minérale stable dans le temps (calcium, magnésium, bicarbonates). Avant d’être commercialisée, sa source fait l’objet d’analyses approfondies validées par les autorités sanitaires, notamment l’ANSES, qui évalue sa qualité, sa stabilité et son absence de risque pour la santé. Ce statut officiel est encadré par une réglementation stricte.
    Exemples : Evian, Badoit, Vittel, San Pellegrino, Plancoët…
  • Eau de source : elle provient également d’une nappe souterraine mais, à la différence de l’eau minérale, sa composition n’est pas obligatoirement stable. Elle n’est donc pas soumise à une reconnaissance officielle de ses propriétés particulières. L’essentiel est qu’elle respecte en permanence les critères de potabilité fixés par la réglementation, c’est-à-dire qu’elle soit propre à la consommation humaine sans traitement chimique, dès sa sortie de la source.

⇒ Pour résumer : les deux sont embouteillées à la source, mais seules les eaux minérales peuvent faire l’objet de revendications nutritionnelles.

L’eau du robinet : atouts et points de vigilance

L’eau du robinet est une ressource très consommée en France, souvent présentée comme l’une des plus sûres au monde grâce à des contrôles rigoureux portant sur plus de 70 paramètres définis par les réglementations européenne et nationale. Mais un questionnement croissant émerge au sein de la population concernant la présence de substances potentiellement préoccupantes, même en faibles concentrations, et leurs effets à long terme sur la santé.

eau du robinet

Les avantages : une solution économique et écologique

  • Un coût imbattable : l’eau du robinet reste de loin la solution la plus économique pour s’hydrater au quotidien et permet des économies importantes pour les ménages.
  • Une accessibilité sans égale : disponible à tout moment et en tout lieu grâce au réseau de distribution, l’eau du robinet offre une commodité inégalée.
  • Un impact environnemental réduit (en l’absence d’emballage) : comparée à l’eau en bouteille plastique, l’eau du robinet ne génère pas de déchets.

Les points de vigilance : au-delà des seuils réglementaires

Si les contrôles garantissent que les concentrations de substances indésirables restent en dessous des seuils réglementaires, plusieurs points méritent une attention particulière dans le contexte actuel :

  • Traces de contaminants émergents : des études menées par le ministère de la Santé français ont mis en évidence la présence potentielle de résidus de médicaments, de pesticides, de nitrates et de perturbateurs endocriniens dans certaines eaux du robinet. Bien que ces substances soient détectées à de très faibles concentrations, leur effet combiné, aussi appelé effet cocktail, fait l’objet de recherches actives en raison des incertitudes sur leurs impacts à long terme sur la santé. (L’effet cocktail désigne le risque potentiel lié à l’exposition simultanée à plusieurs substances chimiques, même en quantités minimes, dont les interactions pourraient amplifier les effets).
  • La question des TFA (acide trifluoroacétique) : selon un classement relayé par Ouest-France en mai 2024, certaines villes françaises présentent des taux notables de TFA dans leur eau du robinet. Moussac (Gard) arrive en tête avec 13 000 ng/L, suivie de Paris avec 6 200 ng/L, puis Buxerolles (Vienne) avec 2 600 ng/L. Ces niveaux peuvent surprendre, surtout pour Paris, une ville réputée pour la qualité et la régularité des contrôles de son eau. Cela rappelle que la simple présence de TFA ne signifie pas qu’une eau est de mauvaise qualité : l’eau du robinet reste l’une des plus contrôlées en France.

En comparaison, certaines eaux en bouteille, comme celle de Villers, contiennent nettement moins de TFA que l’eau du robinet de Paris. Et, comme le rappelle Le Mag, il y a souvent beaucoup plus de TFA dans des aliments du quotidien que dans l’eau que nous buvons. Que ce soient les abricots, les concombres, les melons ou encore les raisins, ils peuvent aussi contenir des niveaux significatifs de TFA.

Tableau comparatif des eaux vendues chez Le Fourgon

L’effet sur la santé des TFA n’est à ce stade pas prouvé. Néanmoins, étant donné que par le passé, des substances ont été démontrés néfastes sur la santé après coup, nous voulions chez Le Fourgon vous apporter en transparence les niveaux de TFA contenues au sein des eaux distribuées chez Le Fourgon.

C’est ainsi dans cette optique que nous avons souhaité vous partager les données aujourd’hui disponibles concernant les niveaux de TFA (acide trifluoroacétique) dans certaines marques d’eau vendues par Le Fourgon. Ces valeurs, exprimées en nanogrammes par litre (ng/L); permettent de mieux comprendre les ordres de grandeur observés.

MarqueType d’eauTFA (ng/L)
BadoitGazeuseDonnées non disponibles
EvianPlateDonnées non disponibles
VillersPlate3 400
San PellegrinoGazeuseDonnées non disponibles
VittelPlate400
PerrierGazeuseDonnées non disponibles
PlancoëtPlateDonnées non disponibles
SPAPlate85
ParotGazeuseDonnées non disponibles
CarolaPlateDonnées non disponibles
CelticPlateDonnées non disponibles
Sources de SoultzmattGazeuseDonnées non disponibles
OrdalPlate470
OgeuGazeuseDonnées non disponibles

Il est important de noter que l’étude sur le TFA s’est appuyée sur 19 échantillons d’eaux minérales : deux marques françaises, quatre belges, une néerlandaise, une luxembourgeoise, une hongroise, cinq autrichiennes, ainsi que cinq marques allemandes (issues de données transmises par l’association BUND). Il n’est donc pas encore possible d’avoir une photographie exhaustive pour chaque marque présente sur le marché.

Que retenir de ces analyses ?

Le cas spécifique du TFA : un PFAS très présent, mais pas (encore) réglementé

Les données actuellement disponibles montrent la présence ponctuelle de certaines substances dans l’eau, mais leur simple détection ne signifie pas nécessairement un danger immédiat pour la santé. C’est le cas du TFA (acide trifluoroacétique), un micropolluant classé parmi les PFAS (souvent appelés « polluants éternels ») et considéré comme un métabolite de certains pesticides.

Bien que reconnu comme un PFAS par l’OCDE, le TFA ne figure pas parmi les 20 substances actuellement réglementées par la directive européenne sur l’eau potable, faute de preuves démontrant un effet avéré sur la santé humaine. Très présent dans l’environnement, on le retrouve naturellement dans certains fruits, légumes, vins ou même les eaux de pluie. Autrement dit, nous y sommes déjà exposés par d’autres voies que l’eau potable. 

En l’état actuel des connaissances, cette exposition n’a pas été associée à des risques prouvés pour la santé. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il n’existe pas encore de réglementation spécifique sur sa concentration dans l’eau potable. Cela dit, les recherches se poursuivent, et des évaluations sont en cours au niveau national et international pour mieux cerner les éventuels effets à long terme. L’ANSES prévoit notamment de rendre un avis sur le sujet en 2026, et l’OMS travaille également à une évaluation prévue pour 2025.

Et les microplastiques dans tout ça ?

Concernant les microplastiques, les résultats disponibles sont encore limités, mais révèlent que ces particules peuvent être présentes dans certaines eaux embouteillées. En 2022, l’association Agir pour l’Environnement a mené une analyse sur neuf bouteilles vendues dans le commerce : sept d’entre elles contenaient des microplastiques, vraisemblablement issus de l’emballage plastique ou du processus d’embouteillage.

Notre conseil : privilégier les bouteilles en verre consignée

Les microplastiques présents dans l’eau proviennent en grande partie des contenants en plastique, en particulier des bouteilles à usage unique. Invisibles à l’œil nu, ces particules peuvent être issues de la dégradation du plastique ou générées au cours du processus de fabrication et d’embouteillage. Leur présence soulève des inquiétudes croissantes : plusieurs études ont mis en évidence leur capacité à véhiculer des substances toxiques (comme le bisphénol A, les phtalates ou encore certains métaux lourds) retrouvées dans le sang, les poumons, voire le placenta humain. Ces composés sont suspectés d’interférer avec notre système hormonal, avec des conséquences possibles sur la fertilité ou la santé respiratoire.

eaux bouteilles en verre

Dans ce contexte, opter pour une eau en bouteille en verre consignée, comme celles proposées par Le Fourgon, permet de limiter l’exposition à ces résidus indésirables, tout en réduisant son impact environnemental. Un choix de plus en plus pertinent, à l’heure où la vigilance sur la qualité de l’eau et ses effets à long terme sur la santé devient une priorité.

Comment évaluer la qualité d’une eau ?

Pour bien choisir son eau, il est essentiel de comprendre les différents indicateurs présents sur les étiquettes. Ces données permettent de comparer les eaux entre elles selon leur minéralisation, leur acidité ou leur pureté.

Le résidu sec : indicateur clé de minéralisation

Le résidu sec est exprimé en mg/l à 180 °C. Il indique la quantité de minéraux dissous dans l’eau après évaporation complète. Il donne donc une idée de la “richesse” en sels minéraux.

Voici les grandes catégories :

  • < 50 mg/l : eau très faiblement minéralisée (ex : Mont Roucous)
  • 50 à 500 mg/l : faiblement minéralisée
  • 500 à 1 000 mg/l : moyennement minéralisée
  • > 1 000 mg/l : fortement minéralisée (ex : Badoit)

Le pH des eaux minérales : impact sur l’organisme

Le pH indique le niveau d’acidité ou de basicité d’une eau, sur une échelle allant de 0 à 14 :

  • pH < 7 : eau acide
  • pH = 7 : eau neutre
  • pH > 7 : eau basique (ou alcaline)

La majorité des eaux minérales présentent un pH compris entre 6 et 8,5. Ce paramètre influence principalement le goût de l’eau. Une eau légèrement acide peut paraître plus vive ou plus piquante, tandis qu’une eau légèrement basique peut offrir une sensation plus douce ou « ronde » en bouche.

ph d'une eau

La pureté de l’eau : critères d’évaluation

La “pureté” d’une eau repose sur l’absence de polluants ou contaminants indésirables. Les critères d’évaluation sont de plus en plus diversifiés, notamment avec la détection de polluants émergents comme nous l’avons évoqué tout au long de cet article.

Parmi les indicateurs clés :

  • Nitrates : limités à 50 mg/l en France. Présents dans l’eau du robinet ou certaines eaux de source, ils proviennent souvent des engrais agricoles.
  • Pesticides et résidus médicamenteux : leur présence est encadrée, mais des traces peuvent être détectées à très faible dose.
  • PFAS (per et polyfluoroalkylées) : substances ultra-persistantes, de plus en plus surveillées. La réglementation évolue.
  • TFA (acide trifluoroacétique) : forme de PFAS très soluble dans l’eau, aussi surveillée.
  • Microplastiques : bien que les recherches soient récentes, ils ont été retrouvés dans de nombreuses eaux en bouteille plastique.

N’oubliez pas : chez Le Fourgon, toutes les eaux proposées sont en bouteille en verre consignée, ce qui limite fortement la migration de microplastiques et constitue un geste concret pour la santé et la planète.

Comparatif des eaux faiblement minéralisées

Les eaux faiblement minéralisées, avec un résidu sec inférieur à 500 mg/L, sont recommandées pour leur douceur et leur facilité d’assimilation par l’organisme. Elles sont particulièrement adaptées aux nourrissons, aux personnes âgées ou à celles souffrant de troubles rénaux.

Voici un comparatif de quelques eaux faiblement minéralisées :

MarqueRésidu sec (mg/L)pHParticularités
Mont Roucous226.0Très faible minéralisation, idéale pour bébés
Rosée de la Reine306.5Faible en sodium, goût neutre
Volvic1307.0Équilibre minéral, adaptée à tous
Cristaline (Metzeral)306.5Source spécifique à faible minéralisation

Les eaux gazeuses recommandées

Les eaux gazeuses peuvent être naturellement pétillantes ou rendues effervescentes par adjonction de gaz carbonique. Les naturelles, comme San Pellegrino ou Badoit, sont particulièrement intéressantes pour leur richesse en minéraux comme le calcium ou le magnésium. Pour les personnes attentives à leur consommation de sel (notamment en cas d’hypertension), il peut être utile de comparer les teneurs en sodium des différentes marques. Voici quelques repères :

MarqueSodium (mg/L)Particularités
La Salvetat3.5Faible en sodium, goût léger et rafraîchissant
Henniez5.0Naturellement gazeuse, équilibre minéral
Perrier9.5Riche en bulles, goût vif et désaltérant.
San Pellegrino30Riche en minéraux, goût distinctif

Si vous ne présentez pas de contraintes particulières, toutes ces eaux peuvent s’intégrer dans une hydratation variée. En revanche, si vous suivez un régime pauvre en sel ou avez des antécédents cardiovasculaires, privilégiez les eaux faiblement sodées, comme La Salvetat ou Henniez.

Choisir son eau selon ses besoins spécifiques au quotidien

Toutes les eaux minérales n’ont pas la même composition. Selon votre état de santé, votre âge, vos besoins nutritionnels ou vos habitudes sportives, certaines eaux seront plus adaptées que d’autres. Voici un guide pour choisir l’eau qui correspond le mieux à votre profil. 

Les eaux riches en magnésium et leurs bienfaits

Le magnésium est un minéral essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Il joue un rôle crucial dans la transmission nerveuse, la relaxation musculaire, et la lutte contre le stress et la fatigue. Mais aujourd’hui, une grande partie de la population française est en déficit léger ou modéré de magnésium. Les eaux riches en magnésium peuvent donc contribuer à couvrir une partie des apports recommandés, surtout si vous avez tendance à avoir des épisodes de stress ou de fatigue chronique, des crampes ou douleurs musculaires fréquentes ou encore une alimentation pauvre en fruits secs, légumes verts ou céréales complètes.

Attention : les eaux bien minéralisées ne conviennent pas à tous, notamment aux personnes souffrant de troubles rénaux.

Les eaux riches en calcium : pour qui ?

Le calcium est bien connu pour son rôle dans la santé osseuse, mais il intervient aussi dans la contraction musculaire, la coagulation du sang, et la régulation hormonale. Si vous êtes concerné par la prévention de l’ostéoporose (notamment après 50 ans), une alimentation pauvre en produits laitiers ou une grossesse ou une période de croissance rapide, alors une eau riche en calcium peut être une alliée précieuse au quotidien.

eau riche calcium

Les eaux riches en bicarbonate et sodium

Les bicarbonates favorisent une bonne digestion et permettent de réguler l’acidité gastrique, surtout après des repas riches. Quant au sodium, il intervient dans l’équilibre hydrique du corps et dans la transmission des influx nerveux. Les eaux bicarbonatées sont recommandées pour : 

  • Les troubles digestifs (lourdeurs, reflux, ballonnements)
  • Les sportifs, pour améliorer la récupération après l’effort
  • Les lendemains de fête, pour limiter l’acidité

Si vous souhaitez consommer une eau riche en bicarbonate, vous pouvez par exemple opter pour la Vichy Célestins (2989 mg/L), la Saint-Yorre (4368 mg/L) ou encore la Badoit (1250 mg/L) que nous vendons d’ailleurs chez Le Fourgon en version consignée.

Qu’en est-il du sodium ?

Si vous souffrez d’hypertension ou de rétention d’eau, mieux vaut privilégier des eaux pauvres en sodium (< 20 mg/L). Sinon, les eaux sodiques peuvent être bénéfiques ponctuellement pour les sportifs ou en cas de déshydratation.

L’eau adaptée à l’activité sportive

Lors d’un effort physique, le corps perd de l’eau, mais aussi des minéraux (électrolytes) comme le sodium, le potassium ou encore le magnésium. Pour rester bien hydraté et favoriser la récupération, il est essentiel de choisir une eau qui compense ces pertes. Alors pour ça, on vous a préparé une eau pour chaque étape : 

  • Avant l’effort : optez pour une eau faiblement minéralisée, bien tolérée par l’estomac, qui permet une hydratation optimale sans alourdir.
  • Pendant l’effort : si l’exercice dure moins d’une heure, une eau plate peu minéralisée suffit. Au-delà, une eau légèrement minéralisée ou une boisson riche en électrolytes est recommandée.
  • Après l’effort : une eau riche en bicarbonates et en sodium favorise la récupération, limite l’acidose et compense les pertes sudorales.
eau pour le sport

Les réponses rapides à toutes vos questions

Voici la section parfaite pour vous si vous voulez aller direct à l’essentiel, sans passer par toutes les analyses techniques !

Quelles sont les meilleures marques d’eaux en bouteille pour la santé ?

Il n’existe pas de réponse unique à cette question. Tout dépend de vos besoins spécifiques : certaines eaux sont riches en minéraux et bénéfiques pour les personnes carencées, d’autres sont très peu minéralisées et adaptées à une consommation quotidienne. L’essentiel est de varier les sources et de privilégier, lorsque c’est possible, des contenants en verre consignés pour limiter l’exposition aux microplastiques.

Faut-il boire l’eau du robinet ou l’eau en bouteille ?

L’eau du robinet est contrôlée, économique et écologique, mais peut contenir des traces de nitrates, PFAS ou microplastiques selon les régions. L’eau en bouteille offre une qualité stable, surtout pour les eaux minérales, mais le plastique peut libérer des microplastiques. L’idéal : l’eau en bouteille en verre consignée, comme celles proposées par Le Fourgon. Si vous hésitez, n’hésitez pas à lire notre article pour choisir entre l’eau du robinet et l’eau en bouteille.

Quelles sont les eaux à éviter ?

Évitez les eaux très minéralisées si vous avez des reins fragiles, ainsi que les bouteilles plastiques exposées à la chaleur (microplastiques). Préférez les eaux en verre consigné, de source connue et faiblement minéralisées.

Quelle eau est la plus riche en magnésium ?

L’eau la plus riche en magnésium est l’eau Hépar, avec environ 119 mg/L de magnésium. Il y a également Rozana (dépassant les 80 mg/L) qui est une excellente alternative. Ces eaux sont recommandées en cas de fatigue, de stress ou de constipation passagère.

Sources : 

Pressenza – Forever chemicals found in bottled water

LuxTimes – Forever chemicals in Luxembourg bottled water

Agir pour l’Environnement – Étude microplastiques 2022

Eau du Grand Lyon – Surveillance du TFA

Reporterre – Près de 80 % des eaux en bouteille contaminées par des microplastiques

Générations futures – TFA dans des vins européens

Mérieux NutriSciences – Acide Trifluoroacétique (TFA) : Un PFAS sous surveillance ?

Pesticide Action Network Europe – TFA: The ‘Forever Chemical’ in European Mineral Waters